الخميس، 27 نوفمبر 2014

Premières expériences.

'étais allée passer une échographie et j'attendais le résultat quand une femme s'est assise à mes côtés. Son ventre était aussi enflé que le mien. La femme était sympathique et je lui ai parlé de moi sans problème, lui racontant que j'étais encore vierge à mon mariage même si ce n'était pas tout à fait vrai parce que je m'étais enfoncé tout un tas d'objets dans le vagin pour le plaisir de me sentir pénétrée. J'aurais pu faire l'amour avec un garçon ou un homme puisque j'avais commencé à me masturber quand j'étais très jeune mais j'avais peur d'eux. Je savais bien qu'un jour je devrais y passer mais je préférais la masturbation et j'avoue que c'est toujours ça que je préfère dans le sexe et que ça m'excite énormément de me masturber devant quelqu'un ou quelqu'une. J'avais aussi eu des seins énormes très tôt et à dix-huit ans, je pouvais rivaliser sans problème avec une vache à lait comme me le disaient souvent les garçons qui auraient eu du mal à deviner que j'aimais être à poil, complètement nue au soleil.

Ma première véritable expérience, je l'avais eue avec une de mes cousines avec qui je m'étais masturbée. Elle m'avait mis au défi et je n'avais accepté que si je pouvais la voir le faire, elle et après nous être prouvées que nous aimions nous masturber, nous nous étions masturbées l'une l'autre et plusieurs fois par jour et par nuit cet été-là alors que nous étions en vacances chez notre grand-mère. Elle m'avait aussi appris à me soumettre. On se promenait dans la campagne. Elle me demandait de montrer ma poitrine et après avoir ramassé des brindilles, elle m'en fouettait les seins jusqu'à ce que je demande grâce et après elle me les couvrait de baisers avant de me faire la même chose sur les fesses et j'étais là, à quatre pattes dans les blés et avec les fesses en feu et ma cousine s'agenouillait derrière moi et elle me mangeait la motte comme on dit, jusqu'à ce que je mouille et que je jouisse et puis elle me léchait pour me faire ma petite toilette comme elle disait.

Au lit, c'était différent car nous devions attendre qu'il n'y ait plus de bruit dans la maison pour aller plus loin que les caresses et les baisers et nous mettre en soixante-neuf pour nous aimer. Ça n'avait duré qu'une saison mais j'en avais gardé le besoin d'être encore plus exigeante avec moi, jusqu'à me faire mal et m'enfoncer des objets de plus en plus gros et après les carottes, je me suis prise avec les concombres que j'empruntais dans le réfrigérateur avant de les remettre en place une fois apaisée. Cette cousine s'est mariée mais je n'ai pas pu aller à son mariage puis une autre de mes cousines s'est mariée et moi, j'avais dix-sept ans et je savais que la femelle que je suis devait s'accoupler avec un mâle. C'est ma mère qui m'a parlé de celui qui allait devenir mon mari. Une de ses collègues avait un fils plus âgé que moi et ça lui a semblé naturel que je me marie avec lui.

J'ai accepté tout de suite. J'allais enfin être utile et ce garçon ne perdrait plus sa semence inutilement. Je ne parlais jamais de sexualité avec ma mère. Je l'avais plus d'une fois surprise à dire à mon père, quand elle pensait que je ne pouvais pas entendre, qu'elle avait besoin d'être prise. Une fois, elle lui avait répondu qu'elle ferait ce qu'il voudrait et qu'il pourrait l'enculer si, une fois de plus, il en avait envie. Combien de fois avais-je entendu ce "Va te faire enculer !" que les garçons disaient aux filles qui refusaient leurs avances. Je ne savais pas vraiment ce que ça voulait dire même si je m'étais déjà enfoncé une bougie dans l'anus et plus tard, je saurai que c'est la plus belle preuve d'amour que je peux donner même s'il y a loin d'une bougie à la bite qui vous écarte les fesses pour de bon.

J'ai un autre souvenir de ma mère et de mon père : une nuit que je m'étais relevée pour aller faire un besoin, j'ai vu de la lumière par la porte entrebâillée de leur chambre. Peut-être avaient-ils pensé l'avoir fermée et peut-être s'étaient-il dits que comme je devais dormir, ils avaient mieux à faire que de descendre du lit pour la fermer. Ma mère était penchée sur le lit et mon père était debout derrière ses fesses et bien sûr, ils étaient entièrement nus. "Tu acceptes tout ce que je veux, disait mon père à ma mère ! Tu es une vraie putain !" Ma mère lui avait répondu que c'était tout ce qu'il voulait et qu'elle aurait pu en être une. Elle avait ajouté : "Tu te rappelle qu'au début de notre mariage, on en faisait venir une de temps en temps pour s'amuser ?" "Tu voudrais qu'on recommence, avait ajouté mon père ?" Maman avait insisté en lui répondant qu'il savait bien qu'elle avait toujours aimé les femmes : "Tu as quand même voulu m'épouser alors que tu savais bien que je suis une gouine, a continué ma mère ! Mais je n'accepte que ta queue !" "Ça te manque, lui avait alors demandé mon père ?" Ça m'a toujours plu de te regarder faire l'amour avec elles ! On pourra recommencer dès qu'Hélène sera mariée !"

Je songeais à ça devant le maire, que mon mari allait pouvoir saillir sa femelle et que ma mère allait pouvoir recommencer à faire l'amour avec une femme sous les yeux de mon père. "Finis dans ma bouche ou mon anus, avait ajouté ma mère, sinon je risque d'être enceinte !" J'avais assisté jusqu'au bout et j'avais vu le membre sortir presque entièrement de ma mère et se renfoncer jusqu'au fond, marqué par le bruit du ventre qui claque sur les fesses. "Je vais finir, avait ajouté mon père ! Qu'est-ce que tu veux ? Ton cul ou ta bouche ?" Ma mère avait préféré la bouche et je l'avais vue s'agenouiller devant papa, lèvres écartées et bouche ouverte, à attendre le jaillissement du sperme. Le sperme avait jailli une demi-douzaine de fois et il s'était perdu au fond de la gorge de maman qui l'avait fait rouler avec sa langue sur ses dents avant de l'avaler puis elle avait lavé le gland paternel à coups de langue jusqu'à ce que je me sauve dans ma chambre.

Mon mari ne m'a jamais parlé de ses aventures pré-conjuguales tout comme il ne sait rien des miennes. Il était timide. Nous sommes montés à la chambre et je me suis déshabillée puis je suis revenue dans la chambre pour qu'il se déshabille à son tour dans la salle de bains. J'étais allongée sur le dos et offerte. Il s'est enfoncé. Quelques minutes après, et sans que j'ai eu le moindre orgasme, j'ai senti la semence jaillir tout au fond de mon vagin et c'est sans doute cette nuit-là que j'ai été prise et je ne m'en suis aperçue qu'au bout du quatrième mois. Donc, j'étais enceinte de six mois quand j'ai rencontré cette femme de mon âge et enceinte elle aussi. Elle m'a parlé d'elle et j'ai compris qu'elle n'en revenait pas que je sois aussi niaise quant au sexe.

Elle m'a proposé d'aller chez elle et je l'y ai suivie et une fois chez elle, elle a voulu qu'on compare nos ventres et nos seins. J'ai trouvé ça excitant. Elle m'a dit que je suis belle et elle l'était elle aussi si bien qu'on a joué ensemble puis nous avons fait l'amour. Elle ne l'avait jamais fait avec une femme et elle était un peu gauche. On s'est revues. Alors que nous en étions au septième mois et que nos ventres commençaient à nous gêner, elle m'a proposé de rencontrer son mari. C'était plus que ce que je n'avais imaginé. Déjà que je trompais mon mari avec elle. La femme m'a fait sa promotion. Il n'y avait pas de photos dans son appartement comme si elle ne voulait pas qu'il y en ait. Elle m'a dit qu'il rentrait à quatre heures et que je pouvais rester puis elle a ajouté que je ne le regretterais pas parce que c'était un très bon amant puis elle a ajouté que je ne risquais pas d'être enceinte puisque je l'étais déjà et que c'était une chance.

A quatre heures cinq, la porte de l'appartement s'est ouverte et j'ai vu un des plus beaux noirs que je n'ai jamais vu, si bien baraqué, si sûr de lui. Il s'est approché de moi et il m'a tendu la main en me demandant si j'étais Hélène. Bien sûr, c'était moi. Sa femme lui a dit qu'elle ne lui avait pas menti en lui parlant de moi. "Tu vois, ce n'est pas faux, lui a-t-elle répondu en soulevant ma robe pour lui montrer mon gros ventre !" Le mari m'a demandé s'il pouvait toucher et il a posé sa main sur mon ventre. Je n'avais pas de culotte parce que je ne supportais plus les sous-vêtements à l'époque. Sa main a glissé sur mon ventre puis j'ai senti son doigt sur mon clitoris et je lui ai dit que s'il insistait, j'allais avoir un orgasme et il m'a répondu que c'était ce qu'il voulait. Sa femme nous regardait, amusée.

J'étais debout devant celui qui allait devenir mon amant et il m'a pris un mamelon dans la bouche pendant qu'il me masturbait et ça n'a pas duré très longtemps parce que j'étais si excitée que j'ai explosé rapidement. Je n'avais pas réalisé que j'avais déjà du lait mais sur ses lèvres, il s'en écoulait qu'il m'avait arraché des mamelons. "Il faut qu'il te baise, a ajouté la femme, parce que je ne t'ai pas montré le plus beau !" et elle a ouvert le pantalon de son mari et elle en a sorti un pénis qui était plutôt un pieu de trente centimètres de long et de cinq de large et dont la peau était parcourue de veines. Elle m'a demandé si je voulais bien que son mari me baise et j'ai accepté. Elle s'était déshabillée entièrement et elle tournait autour de nous et son mari m'a prise par les épaules tout en me disant qu'il voulait me prendre en levrette. Je ne connaissais pas ce terme-là mais j'ai obéi en me penchant sur le lit. La femme s'était allongée devant moi et ma tête était à la hauteur de sa vulve mais je n'ai pas eu le temps de réfléchir. Son mari me tenait par les hanches et son membre me pénétrait. Il s'était sans doute dit qu'il fallait que ça rendre et que ce n'était pas une femelle qui préférait se masturber qui serait un obstacle et que sa bite, aussi grosse soit-elle, devait entrer et elle a disparu tout au fond de mon ventre. Je sentais le ventre sur mes fesses et les cuisses contre les miennes. J'étais prise.

Le mâle pouvait saillir la femelle mais il prenait son temps et j'ai souvent pensé que ça ne finirait jamais. Il me laissait avoir un orgasme et reprendre mon souffle avant de recommencer et je léchais la vulve humide de son épouse et je pensais à mon mari. Que dirait-il s'il apprenait que je le trompe ? Allait-il vouloir divorcer ? J'ai fini par penser qu'il n'y avait aucune raison qu'il l'apprenne. Le sperme a jailli et a empli mon vagin et je suis restée empalée par la bite qui ne semblait pas vouloir se calmer. Je la sentais dans mon ventre et j'avais l'impression qu'elle allait me ressortir par la bouche. La femme s'était dégagée. Son mari nous a serrées dans ses bras et nous ne pouvions pas nous regarder parce que nous regardions tous les trois dans la même direction. Je sentais la bite sur ma cuisse. La femme a plaisanté en disant que je ne pouvais pas imaginer lui prendre son mari. Maintenant, celui-ci flattait nos ventre avec ses doigts, comme s'il était aussi responsable de mon état.

"On recommencera, a alors dit la femme ! Tu diras à ton frère de venir aussi !" Ça ne pouvait pas être mon frère et c'était donc le frère de son mari. J'avais eu plusieurs orgasmes mais ça n'était pas vraiment du plaisir. C'était plutôt le plaisir d'avoir été soumise comme je l'avais été par ma cousine. Le mari a continué en jouant avec nos seins et en en faisant jaillir du lait et il nous a traitées de vaches laitières mais ça n'avait pas vraiment d'importance et il m'aurait traitée de putain que ça ne m'aurait pas non plus vexée parce que j'étais contente d'avoir fait ça. Je suis rentrée chez moi. Mon mari n'était pas encore rentré et j'ai préparé notre dîner puis il est arrivé et nous nous sommes embrassés. J'avais pu voir qu'il n'était pas très attiré par les baisers sur la bouche et on s'embrassait le plus souvent sur les joues et je préférais sucer sa bite que d'embrasser son propriétaire. J'avais mal partout et j'avais les seins fatigués et je n'avais pas envie de faire l'amour avec mon mari, qui était persuadé qu'une femme enceinte doit cesser de s'accoupler.

Depuis que j'étais enceinte et à mesure que mon ventre et ma poitrine enflaient, je devais le lui demander quand j'avais envie de m'accoupler. Je m'asseyais sur le bord du lit et il me relevait les jambes avant de me pénétrer et de me faire son affaire. Je n'avais jamais essayé d'avoir un orgasme avec lui et je continuais à me masturber en secret mais ce soir-là, mon mari a surgi dans la salle de bains alors que je sortais de la douche et il m'a dit que je suis plus belle avec mon gros ventre. Je lui ai demandé ce qu'il avait en tête mais je savais bien qu'il n'avait jamais rien en tête du moins pour le sexe. Il a bafouillé et je lui ai demandé s'il voulait essayer quelque chose. Je me suis essuyée puis je l'ai traîné dans la chambre par la main et je me suis penchée sur le lit et je lui ai demandé de me pénétrer mais il s'est trompé et il s'est enfoncé dans mon anus et pour la première fois de ma vie, mon mari m'a enculée.

Je pensais à ce que j'avais fait cet après-midi-là, à ce pénis énorme qui m'avait révélée et mon mari m'enculait. Le sperme a fini par jaillir. La semaine suivante, je suis retournée chez mon amie et j'ai rencontré son beau-frère. Tous les deux, c'était vraiment des étalons dont nous avons profité, tour à tour, tout en leur montrant qu'on était capables, toutes les deux, de faire tout autant et même mieux et nous avons recommencé tant qu'on a pu, jusqu'au jour de l'accouchement. D'ailleurs j'étais avec eux quand ça m'a prise. J'ai accouché d'une fille et chaque année et les trois années suivantes, j'ai eu trois autres enfants.

Ça ne m'a jamais gênée de faire l'amour avec un autre homme quand je suis enceinte et d'ailleurs, comme l'avait dit mon amie, je ne risquais pas de l'être encore plus puisque je l'étais déjà. J'ai pu constater que les hommes aiment faire l'amour avec les femmes enceintes et d'ailleurs, je me suis toujours sentie plus sensuelle avec mon gros ventre et plus disposée à cela.

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