Voici une autre première fois… La première fois où mes fesses ont goûté à la virilité torride d’une pénétration.
Il va de soi que je ne parle pas ici de mes accessoires qui, pour le coup, ont déjà visité mon intimité à bien des occasions…
…
Cette nuit-là, je suis sur la route. Je rentre d’un déplacement à l’extérieur…
Pas grande monde sur l’autoroute. C’est calme. Mon esprit peut se laisser aller à vagabonder…
J’aime bien rouler la nuit. L’atmosphère est propice à l’imagination…
Comme souvent dans cette situation, je ne tarde pas à me remémorer mes
aventures nocturnes, mes exhibitions dans la nature… les quelques «
rencontres » anonymes… Je me revois, coquine et provocante. Je repense à
ces verges dressées… chacune… Et même si jusqu’à maintenant, je n’ai
jamais dépassé le stade de la fellation et de l’éjaculation faciale…
Mmmmmmmmmm… c’est toujours très excitant d’y repenser…
Inévitablement, la tentation commence à me susurrer des envies…
Et dans ces cas-là, il en faut peu pour me motiver…
Il est à savoir que j’emporte systématiquement mon « petit nécessaire »
quand je pars en déplacement comme çà. Une sélection du moment,
deux/trois tenues sexy et autres accessoires de luxure : gode, plug,
lubrifiant, préservatifs… Au fond de ma valise, ou dans un sac de sport,
je ne pars pour ainsi dire jamais sans emporter ces petites choses, en
cas d’envies inattendues… mais très probables.
Ayant déjà parcouru cet itinéraire, une petit aire de repos me revient à
l’esprit. Dans une cinquantaine de kilomètres. Elle est d’ailleurs
répertoriée sur un site Internet comme lieu de « fréquentation »… j’y
suis déjà allé une fois, de passage en journée. Mais sans succès. Je n’y
avais croisé qu’un couple en pause-déjeuner, et un minibus familial.
Pourtant, le petit tour des lieux m’avait séduite.
Une route unique qui traverse l’aire de part en part. A sa gauche : un
parking arboré, et à sa droite : une bâtisse rectangulaire… A
l’intérieur de cette dernière, un imposant ilot de cabines entouré d’un
large couloir qui en fait tout le tour. Les toilettes pour femmes sur la
gauche, côté parking. Et les toilettes pour hommes sur la droite, avec
une grande ouverture donnant sur la pelouse et les coins aménagés pour
le pique-nique…
Dans les aires de repos, il y a toujours une cabine plus spacieuse que
les autres. Dans mon souvenir, celle-ci était lumineuse, et carrelée sur
tous les murs (C’est un détail, mais le carrelage offre une meilleure
adhérence aux jouets à ventouses)… Et surtout, je revoyais une grande
glace au dessus du lavabo… Et j’aime me regarder faire la coquine… Je
suis une mateuse moi aussi…
Pour résumer, un lieu parfaitement adapté à mes fantasmes, et « renommé »
pour être fréquenté à mon goût…Il n’en faut pas plus pour me
convaincre…
En parcourant les derniers kilomètres, mon imagination se mêle à mon envie et tourne déjà à plein régime…
…
Prochaine sortie à 1000m… 300m… je décélère en m’engageant sur la bretelle de sortie… l’entrée de l’aire de repos…
L’allée de circulation est éclairée. La bâtisse également. Et le parking est vide. Aucune voiture.
Peu de chance de croiser un promeneur à pied en cet endroit.
Je dois m’y résoudre : il est tard et personne ne « fréquente » ce soir…
Mais le lieu m’attire. Comme si une volonté de le rajouter à mon « tableau de chasse » vient se mêler à mon excitation.
J’ai l’opportunité de m’exhiber ici, dans ce nouvel endroit… C’est très tentant !
Qui plus est, j’adore les aires de repos !! Je trouve ces lieux très inspirants, propices à bien des fantasmes…
Résolue, je me gare sur le côté de l’allée, le long du trottoir. A
quelques mètres du lampadaire qui éclaire l’entrée du bâtiment. Dans
l’ombre, juste à la lisière de son halo orangé.
J’éteins le moteur et sors de la voiture.
Je me sens plutôt confiante.
Peu de chances de se faire surprendre ici. Une seule entrée qui forme un
grand virage, suffisamment long pour me laisser un temps de repli si
besoin. Et, dans ce silence, j’entendrai facilement une voiture arriver
au loin…
J’ouvre le coffre, att**** mon sac à malices, et me dirige vers la bâtisse.
Conforme à mon souvenir : le large couloir, éclairé aux néons cette
fois. Je prends à droite. Les cabines pour hommes. LA fameuse cabine…Je
referme la porte. La pièce est spacieuse, carrelée… et le miroir,
toujours là…
Face à mon reflet, je pose mon sac sur le lavabo.
Je me regarde me déshabiller, plier mes affaires avec soin…
Je suis nu. Complètement nu… Ça me plait.
Maintenant, ma tenue…
Hum… voyons…
En lingerie, j’opte pour la guêpière noire à jarretelles… Elle épouse
mes hanches à merveille, et son échancrure dans le bas du dos fait
ressortir mes fesses sans aucune pudeur… c’est très plaisant…
Comme de coutume, j’att**** maintenant mes bas, les enfile délicatement,
remontant jusqu’en haut de mes cuisses. Bien sûr, ce sont des bas
résilles, tellement plus sexy que les autres à mon goût…
Je me regarde dans la glace. En guêpière et bas résilles… Mmmmmmmmmm… sexy !!
ça commence à prendre forme…
Ensuite…
La robe blanche… ? Elle est courte, simple, en coton… Mais surtout, elle
est blanche… et donc un brin transparente… On fera plus que deviner la
guêpière en-dessous… Et elle enrobe parfaitement mon petit cul…
La robe blanche ce sera.
Un escarpin, puis l’autre… Me voici légèrement rehaussée, cambrée juste ce qu’il faut…
Ne restent plus que les longs cheveux bruns et fins qui dissimulent
délicatement mon visage… et mes lunettes de soleil. Mes grandes lunettes
de soleil qui couvrent bien plus que mes yeux. Elles remplacent mon
masque ce soir…
Mon regard s’attarde sur le miroir…
J’ai en face de moi une femme… grande et mince… sexy, dans sa robe
légère épousant une cambrure provocante, et qui s’arrête juste sous les
fesses…
Je fais quelques pas, coquette… balance mon postérieur pour sentir la caresse du tissu… C’est délicieux…
En toute prétention, je m’admire encore un peu, déambulant dans la pièce… prenant quelques poses favorites…
Je m’excite toute seule, usant de mon imagination. Quel dommage de ne pouvoir partager cette vision avec un gentleman voyeur…
Mmmmmmmmm… m’exhiber devant lui… jouer la provocante, l’impudique… Mes
mains me frôlent, me caressent… des vagues de plaisir commencent à
monter… J’ondule, je me déhanche… Mmmmmmmm…
C’est agréable… Tout à l’heure, j’irai prendre l’air sur le parking. J’irai pour une petite promenade…
En attendant, je m’approche de mon sac, plonge une main et ressors le gode… le gros gode noir…
Le show va commencer…
Je le fixe sur le miroir, à l’aide de la ventouse…
J’imagine mon voyeur imaginaire derrière moi… matant à la fois mon petit
cul, et la fellation gourmande que je m’apprête à accomplir…
Je saisis la verge d’une main, et commence à la lécher… Ma langue passe
partout… lape… mouille… Mmmmmmmmm… c’est gros… c’est dur… Je lèche le
gland, l’embrasse… le gobe…
Tandis que d’une main je me caresse le cul, je prends maintenant le sexe
en bouche… sa chair synthétique glisse entre mes lèvres…
J’ai cette savoureuse sensation de sucer une grosse bite… qui s’enfonce
dans ma gorge… J’avance et recule sur cette hampe virile… Mmmmmmmmm… je
l’avale, la ressors… la lèche, des couilles jusqu’au gland… et
l’engloutis à nouveau…
Je suis plongée dans mon personnage : une petite coquine dévergondée qui
suce une bite dans une toilette publique, sur une aire de repos… C’est
un rôle qui me plait…
Plongée dans mon fantasme, je ne l’entends pas tout de suite.
Au loin, le murmure d’un moteur qui se rapproche. Je prête maintenant l’oreille…
Le véhicule semble ralentir. Il arriverait donc sur l’aire de repos…
Et pourtant, je ne suis pas effrayée. Je suis dans une pièce fermée à clé, je ne risque rien.
Qui plus est, mon envie est toujours là. Que dire de mon excitation qui
vient de grimper d’un cran à l’idée, sait-on jamais, que le visiteur
aurait peut être les mêmes intentions que moi…
Je déplace mon godemichet sur le mur, plus bas, à hauteur de mon petit cul. Passons à la suite…
Un peu de lubrifiant sur les doigts, la robe relevée, j’écarte les
jambes et commence à m’enduire la fente… le petit trou… copieusement…
cette fraîcheur lubrique, humide, tout le long de ma raie, débordant sur
mes fesses… je passe et repasse mes doigts… Mmmmmmmmm… ça glisse…
Encore un peu de gel, pour le chibre maintenant… pressant ma paume
contre la grosse tige bien fixée sur le mur, l’emprisonnant entre mes
doigts… je l’enduis précautionneusement du gland jusqu’aux couilles…
Mmmmmmmmmm… bien lubrifié… bien dur…
Dehors, le moteur s’est arrêté. Une portière s’ouvre et se claque… Le
silence… puis le bruit de pas, d’abord ténu, qui se rapproche, jusqu’à
pénétrer dans le couloir. La démarche parait lente, presque oisive.
Tranquillement, la personne semble faire le tour, sans s’arrêter
particulièrement quelque part…
Je me dis qu’il a dû voir ma voiture, et qu’il s’attend à me trouver ici. Ca peut être bon signe.
Je fais silence, je ne bouge plus… simplement le frottement de mon cul sur le gros jouet…
Mmmmmmmmmm… tandis qu’un inconnu déambule dans le couloir, le chibre
glisse le long de ma raie… lentement… de tout son long… C’est très
excitant…
Je commence à me faire plein de scénarios dans la tête…
Je suis d’humeur TRES coquine…
Il se rapproche. J’ai envie de jouer…
Il parvient maintenant du côté des hommes… Ecartant bien mes fesses de
mes deux mains, j’ondule sensuellement jusqu’à sentir le gros gland
darder à l’orée du plaisir… L’inconnu est proche, je distingue sa
respiration. Quand son ombre apparait sous la porte, je recule lentement
le bassin et… Mmmmmmmmmm… le jouet f***e délicieusement son entrée.
Mon petit trou s’ouvre à son passage, embrassant avec douleur ses larges
dimensions… Oooooooooohhhh… c’est gros !! Je recule encore, m’enfonce
plus loin… Mmmmmmmmm…c’est divin… Je me pince les lèvres pour contenir
mes soupirs. Les couilles de latex me frôlent les fesses, et se plaquent
sous mon anus… le gros jouet englouti de tout son long, m’écartant
l’anus vigoureusement… Emportée d’excitation, j’en oublie un instant la
présence de l’autre, et laisse échapper un petit gémissement de plaisir.
Les pas s’arrêtent, reviennent devant ma porte. Je ne bouge plus. Le
gode bien au fond de mon cul… Immobile. Quelques secondes… Puis les pas
reprennent et s’éloignent à nouveau…
Je profite encore un peu de ce gode enfoncé jusqu’à la garde… le contact
froid du carrelage sur mes fesses me fait frissonner de plaisir…
Je réfléchis…
Je me répète qu’il a de toute façon vu ma voiture dehors. Il doit bien
se douter qu’il y a quelqu’un quelque part… Qu’est-ce que je décide ?
Je sais que j’en ai très envie… très envie de sexe…
Sans m’en rendre compte, j’ai déjà entamé un va-et-vient pénétrant sur
mon jouet… je m’empale à plaisir sur ce gros chibre en espérant les
intentions de mon hôte dehors… Mmmmmmmmmmmmmm…
L’inconnu tousse. C’est un homme… la voix un peu grave… Encore un signe avenant…
Les pas se dirigent vers la sortie, je les entends s’éloigner dehors…
Tout se passe très vite dans ma tête.
Soit il n’est pas tout seul et les autres sont restés à la voiture,
probablement une famille. Soit, il est tout seul et il s’est juste
arrêté pour se dégourdir les jambes. Ou encore, il s’est arrêté là avec
des envies coquines qui devraient me convenir, et peut être d’avantage…
Bien évidemment, la dernière option me titille fortement…
Trop de fois, j’ai attendu, peureuse, trop longtemps, pour finalement
voir l’autre s’en aller, découragé parce que je n’ai pas osé être plus
démonstrative sur mes intentions. Combien de fois suis-je rentrée chez
moi, bredouille pour avoir trop attendu.
Ça n’arrivera pas ce soir.
Et je sais comment m’y prendre…
Je ramasse mes affaires dans mon sac, et m’apprête à regagner mon véhicule, mais… sans me changer !!
Je vais rester dans cette tenue et marcher jusqu’à ma voiture…
Au pire, je me retrouve confronté à l’une des deux premières options et
je serai ridicule quelques secondes : un homme déguisé en femme, en
public, sur une aire de repos… Mais d’une part ce n’est pas illégal tant
que je ne bascule pas dans l’attentat à la pudeur. Et d’autre part,
nous sommes en plein milieu de l’autoroute et personne ne me connait, ni
ne risque de me reconnaitre, sous mon accoutrement…
A l’inverse, je ne puis être plus explicite sur mes intentions et, si le
troisième scénario est avéré, mon inconnu ne pourra douter de mes
convoitises en me voyant ainsi habillée : une travesti sexy et
invitante, à la recherche d’un mâle…
Dernier détail avant de sortir : ma culotte…
Le string ficelle noir, brodé sur le devant, se marie idéalement avec ma
guêpière… et me laisse les fesses à l’air, sous ma robe… Parfait !
Je m’allume une cigarette pour me donner contenance. La main sur la
poignée de la porte, je prends une grande inspiration… et sors.
Le claquement de mes talons sur le sol me fait frissonner, et me renvoie
mon image en pleine conscience. J’avance lentement, savourant
l’instant… dans le couloir d’une aire de repos publique, en pleine nuit,
en tenue aguicheuse… Et je pense à mon inconnu, dehors, qui ne va pas
tarder à me voir apparaitre ainsi….
Impossible maintenant de faire marche arrière…
J’avance au ralenti, prêtant l’oreille. Les escarpins m’insufflent
naturellement une démarche chaloupée. Je me sens vraiment sexy… c’est
très impressionnant…
Je me rapproche de la sortie, passe l’encadrement. Et me retrouve dehors.
Tout de suite je l’aperçois. Il fume une clope adossé à sa voiture,
garée à environ deux places devant la mienne !! Il lève les yeux vers
moi, pas vraiment surpris visiblement…
Là encore, deux possibilités : soit je coupe par la pelouse et reste à
distance de lui, soit j’emprunte le sentier et dans ce cas, je devrai
passer juste devant lui…
Le sentier, bien entendu…
Je sais que déjà, là où je suis, la lumière du réverbère lui révèle ce
que je porte sous ma robe, ma petite robe. Elle n’est plus qu’un voile
délicat recouvrant sans pudeur mes dessous affriolants… ma guêpière, mes
bas…
Je réalise aussi que tout mon itinéraire est éclairé. Il va se régaler le coquin… enfin, j’espère…
J’avance par petits pas… Je prends mon temps… pour lui donner celui de me reluquer…
Ce faisant, je le scrute derrière mes verres fumés : grand, bien bâti,
le visage allongé, les mâchoires carrées et le front dégarni. La
cinquantaine passée. Ce que je vois me séduit d’emblée.
Qui plus est, il n’a pas l’apparence d’un gros vicieux. Il présente
plutôt bien : pantalon en toile, et chemisette blanche. J’aimerais bien
voir ce qu’il cache dessous…
Son regard brillant me laisse supposer un appétit certain pour ce que je
lui montre. Il ne semble rien perdre du balancement de mes hanches et
ne quitte pas ma robe des yeux…
Au fur et à mesure, je m’approche de lui… mes joues s’empourprent… mon
cœur bat vite… Pourtant, je n’atténue rien de mon déhanchement, et
continue de balancer mon petit cul à chacun de mes pas… Je me rapproche…
de plus en plus… il est là, à quelques mètres… quelques pas…
- « Bonsoir », me dit-il.
Intimidée, je ne réponds pas. Je baisse les yeux en passant devant lui…
Je sais qu’il continue de me mater, je ressens son regard sur moi, et le mouvement de sa tête qui me suit…
C’est désormais mon cul qu’il peut observer à travers ma robe tandis que
je rejoins ma voiture… La petite danse frivole du tissu léger sur ma
croupe, sur mes hanches… Il doit certainement espérer un aperçu de ma
blancheur lunaire. J’accentue encore mon dandinement…
Je suis une coquine.
J’ouvre ma portière, côté passager, et m’installe, non sans avoir jeté
un dernier coup d’œil vers mon bel inconnu. D’humeur joueuse, je sors
mon gode du sac, le blanc cette fois, et le pose sur le tableau de bord,
bien visible.
Je referme la portière.
Je viens de lui offrir un petit défilé digne d’une coquine. Il ne peut douter de mes envies…
- « A lui de jouer maintenant », me dis-je en allumant une autre cigarette…
Toujours à sa voiture, il s’en allume une aussi. Il semble réfléchir. Il
me regarde. Il regarde le sol, la bâtisse. Moi, encore… Puis il se
dirige vers le bâtiment, par ce même sentier que je viens de quitter…
Arrivé en haut, devant l’entrée, il se tourne vers moi, semblant
attendre quelque chose, la main sur l’entrejambe.
Je ne saurais dire s’il est timide ou sûr de lui. Mais ce qui est certain, c’est qu’il ne semble pas désintéressé.
Et ce soir, j’ai envie de contrôler la situation, de mener les ébats…
C’est décidé, ce n’est pas moi qui irai vers lui, mais lui qui viendra à
moi…
Je baisse ma vitre jusqu’en bas et allume le plafonnier de l’habitacle, redevenant ainsi parfaitement visible…
De sa position, il peut déjà apprécier le mouvement de mes épaules, de
mes bras : difficile de ne pas comprendre le déplacement de mes mains…
et d’ignorer l’invitation de mes caresses…
Ni une, ni deux, il rebrousse chemin et prends ma direction…
On y est. Ca va se passer pour de vrai…
Je frétille d’excitation !! Mon appréhension elle-même excitée !! Lubrique !!
Parvenu à mon niveau, il se penche à la vitre :
« - Tu n’es pas farouche, ma jolie. »
Comme à mon habitude, je ne réponds pas.
Ca ne semble pas le perturber.
« - Très joli petit défilé tout à l’heure ! T’as pas froid aux yeux ! »
Je n’aime pas parler dans ces situations, ou plutôt, j’aime ne pas
parler dans ces situations… Je préfère m’exprimer de manière corporelle,
de manière un peu plus « a****le »…
« - Et tu n’as pas froid tout court, d’ailleurs… comme ta robe,
précise-t-il avec un clin d’œil complice. J’ai cru apercevoir de bien
jolies choses en-dessous… »
Je lève les yeux vers lui… et reprends naturellement mes caresses… Mes
mains sur ma robe, sur mes hanches, sur mes cuisses… sous ma robe…
- « Ah çà non, t’es pas farouche !! Et plutôt excitante, je dois dire…
J’ai pas bien vu ton cul tout à l’heure. Tu voudrais bien me le montrer encore ? ».
J’aime bien sa voix, et le ton de sa voix. Posé, courtois… très avenant…
Je lui adresse un petit sourire, flattée je l’avoue, et change de
position. Il veut voir mon cul, je vais le lui montrer avec plaisir !!
Lui faisant signe de reculer, je prends le temps de remonter la vitre et
ouvre ma portière en grand. Si tôt fait, il se rapproche de
l’habitacle. Je me place à genoux sur l’assise et pose les mains sur le
siège conducteur. A quatre pattes, la tête tournée de l’autre côté, je
lui présente ma croupe… et commence à onduler pour le chauffer …
J’adore montrer mon cul…
Et me le faire caresser encore plus !! Le coquin ne perd pas de temps !
Mmmmmmmmmm… la chaleur de sa main sur l’extérieur de ma cuisse, sur mes
bas… elle remonte… s’immisce sous ma robe, suit la courbure de ma
hanche, de ma fesse… elle me traverse le dos et redescend vers l’autre
cuisse… c’est très doux… très agréable…
- « Tu aimes quand je te caresse le cul ? Hein, tu aimes, dis ?! ».
Bien sûr que j’aime çà !! Il J’aime sa main virile et délicate à la fois…
En guise de conversation, je retrousse ma robe pour découvrir totalement
mes fesses… et écarte un peu les genoux… Sa main passe maintenant à
l’intérieur de ma cuisse… remonte encore… ses doigts tracent un frisson
entre mes cuisses… sur mon sexe, qui commence à se tendre sévèrement
sous mon string… sous mes bourses… et tout le long de ma raie…
Mmmmmmmmmmm… c’est divin !! Je me délecte de ses caresses… je me régale…
Je ne réalise même pas que je gémis déjà…
Ses doigts passent et repassent sur mon cul… glissent… effleurent… Mmmmmmmmmmmm…
Je profite encore un peu de ces délices…
- « Tu sais que tu m’excites beaucoup, toi… J’adore ton cul ! »
Et moi, j’adore ces mots…
J’ai envie de m’occuper un peu de lui, moi aussi… J’ai surtout envie de voir enfin sa queue…
Subtilement, je me remets dans ma position initiale. Assise. Et me tourne vers lui.
Sa braguette est ouverte. Et la bosse proéminente sous l’étoffe
m’émoustille… Je pose une main sur lui… ma paume vient frotter son «
paquet »… mes doigts enserrent délicatement ce qui doit être ses
couilles…
Mmmmmmmmmmm… c’est bien gonflé là-dessous… ça ne demande qu’à être sorti…
Habilement, je dégrafe sa ceinture, déboutonne son pantalon… Et plonge
ma main derrière l’élastique de son caleçon… ma main dans son caleçon… à
la recherche de sa queue…
C’est toujours un pur délice que de sentir le contact d’une verge dans ma main… ça a sur moi un effet extrêmement aphrodisiaque…
Elle est déjà grosse… mais pas encore dure… elle est chaude… Mmmmmmmmmm… je veux la voir !!
Je suis là… brune coquine, en pleine nuit, sur un parking public, … assise dans ma voiture…
Par la fenêtre, je défroque mon partenaire jusqu’à mi-cuisse… Et… ooooOOOh… bel engin !!
Deux belles bourses, un gros gland bien dessiné et circoncis, une hampe
très appréciable… il semble d’un gabarit tout à fait appétissant… et ce
soir, je suis particulièrement gourmande…
Un détail m’excite singulièrement : moi qui aime quand une verge est
bien dure, la sienne est encore dans un état intermédiaire. Déjà grosse,
mais pas encore dure…
Mmmmmmmmmmm… je veux la sentir durcir sur ma langue… gonfler entre mes lèvres…
Une main sur chacune de ses hanches, je l’invite à s’avancer encore…
plus près… jusqu’à ce que sa verge soit à portée de ma bouche… jusqu’à
ce qu’elle se pose sur mes lèvres… Et… Mmmmmmmmm… je la prends en bouche
sans attendre.
Mmmmmmmmm… c’est chaud… son gland, sa queue, encore tendres…
Profitant de son état, je l’avale sans difficulté, tout entier… mes
lèvres jusqu’à ses couilles… ma langue qui lèche, enrobe sa chair…
Je veux le sentir bander… grossir… me remplir la bouche de toute sa
vigueur… je le garde tout entier à l’intérieur… Mmmmmmmmmmm… je gémis…
j’adoooore çà… Son gland est gros, bien gros, et perle déjà quelques
gouttes de plaisir… Mmmmmmmm… c’est boooooon…
- « Tu l’aimes ma queue ? Tu la sens durcir dans ta bouche ?! »…
Oh que oui, j’aime çà !! Elle est maintenant bien dressée, et bien
grosse…son gland bien au fond de ma gorge, elle déborde de mes lèvres…
Je commence à sucer… à lécher… je reprends sa queue dans ma bouche… le
plus loin possible… Je vais-et-viens sur son chibre… mes mains sur ses
hanches rythment la pénétration… Il s’enfonce et ressort… glisse entre
mes lèvres possessives… encore… Mmmmmmmmmm… Encore…
- « Suce-moi, salope… Suce-moi encore… ». Il râle de plaisir… son
souffle rauque accélère… le rythme de son bassin aussi… Il m’a traité de
salope… Il a raison !
Le bruit mouillé de ma propre succion… de sa queue dans ma bouche…
Mmmmmmmmmm… Elle est tellement bonne !! Je deviens complètement
délurée… mouillée de désir…
Ce soir pourrait être LE soir… ce soir, j’ai envie de me faire prendre… j’ai envie de lui offrir mon cul…
Mmmmmmmmm… j’ai terriblement enviiiiiiiiiiiiiiiie…
- « Tu suces bien !! Tu m’excites…
Je prendrais bien tes jolies petites fesses… Tu aimes aussi la sodomie ?
Ça te dirait ?! Que je prenne ton cul ?!
Je suis sûr que t’aimes çà… »
Encore « vierge » à cet instant, je ne vais pas tarder à réaliser très
vite à quel point il a raison, à quel point j’aime une bite entre mes
fesses… et j’ai déjà ma petite idée de la manière dont je veux le faire…
Un petit clin d’œil, et, sans mot dire, je le fais reculer, att**** mon
sac et sors de la voiture… Je passe devant lui en le frôlant, et prends
la direction de la bâtisse… je veux le faire là-bas, en pleine lumière…
et je veux lui offrir un spectacle qu’il n’oubliera pas… et que je
n’oublierai pas…
En chemin, mon allure est encore plus provocante… je relève ma robe pour
lui exhiber mon cul qui dandine… Il me suit, juste derrière, jouant le
jeu du mateur vicieux… avec, j’imagine, des idées plein la tête…
Je passe l’entrée, et me dirige cette fois vers le couloir des femmes…
Arrivée en son centre, je me tourne vers lui et l’interroge du regard.
- « Ici ? … Si ça te va, ça me va », me répond-il en souriant.
Je lui souris en retour… Ça me convient parfaitement…
Ce soir, je vais me faire prendre les petites fesses par un bel inconnu…
ici, dans ce couloir… sur cette aire d’autoroute… je vais goûter au
plaisir d’une grosse queue qui me pénètre… Mmmmmmmmmmmm…
Je suis sûre que mes yeux trahissent mon envie de luxure…
- « Laisse-moi faire », lui dis-je tout bas…
Je commence par tourner autour de lui, lentement… je le frôle… je me
frotte contre lui… mes mains se dispersent… caressent son corps, ses
hanches… ses fesses… son sexe…
Puis, je rejoins mon sac et retrouve mon godemichet, le noir… le gros…
Ravi, il me regarde l’accrocher sur le mur. Il attend de voir la suite.
Je me tourne vers lui, et, avec une audace qui me surprend moi-même, je
le fixe droit dans les yeux… et fais glisser ma robe le long de mon
corps… Je me retrouve maintenant en guêpière, string, résille et talons
hauts… face à lui…
- « Wouaouhh !! T’es carrément bonne, toi !! T’es une vraie petite salope, on dirait !! ». Il ne croit pas si bien dire…
La flatterie me fait rougir, mais ne me décontenance pas… Ce soir, je SUIS une salope…
Je refais un petit tour autour de lui, dans cette tenue… un caprice
d’exhib me titille… un petit défilé de lingerie… une petite marche,
rapide, mais savoureuse…
Lui faisant signe de me suivre, je m’engage dans le couloir… d’une
démarche séduisante, je fais la visite des lieux… m’adosse ici et là…
En passant devant la sortie, l’envie me prend de sortir faire quelques pas dehors, au grand air… à découvert…
Mmmmmmmmm… fabuleux… je marche en lingerie sur le sentier… jusqu’au lampadaire… je me dandine… jusqu’au trottoir…
Le vent caresse mes fesses…
Mmmmmmmmmmmm… je n’ai jamais autant pris mon pied !!
Et je suis sûre que mon partenaire est aux anges lui aussi.
Profitant du spectacle, il n’a de cesse de me dire qu’il aime mon cul, que je l’excite… que je suis une salope…
Je savoure l’instant… continue ma promenade…
Jusqu’au parking maintenant… Je profite de chaque coin de lumière pour
m’exhiber… J’ai le goût du risque ce soir… L’excitation est trop forte !
Ma flânerie se prolonge encore… plus loin…
Je suis une salope… en tenue de salope… avec des envies de salope…
J’atteins l’entrée de l’aire… quasiment visible depuis l’autoroute…
Là, en plein milieu de la route, je m’arrête et me retourne… D’un signe de ma main, il se rapproche de moi…
« - Enlèves-moi mon string, tu veux ?!
- Oh que oui ! Je veux !».
Joignant le geste à la parole, il s’agenouille à mes pieds et pose ses
mains sur mes hanches… Ses doigts adroits saisissent l’élastique de
chaque côté… et le tire délicatement vers le bas… Mmmmmmmmm… la ficelle
se tend un instant… s’extirpe délicieusement de mes petites fesses… Il
descend le long de mes cuisses, de mes jambes… Je lève un pied, puis
l’autre…
Je visualise mentalement la situation…
Je suis maintenant cul nu, le sexe à l’air, devant mon inconnu à l’entrée de l’aire…
Un visiteur impromptu serait sûrement surpris de me trouver ainsi… Mais
mon excitation a déjà pris le dessus sur ma raison au moment même où,
plus tôt, je prenais son sexe en bouche…
Il est toujours accroupi, les yeux au niveau de mon cul…
J’écarte un peu mes pieds… mes mains empoignent mes fesses et les
ouvrent bien grand… Mmmmmmmmmm… je veux l’exciter comme jamais…
Je lui offre mon cul… ma raie… mon petit trou serré…
oooOOOHHH… sa langue vient de glisser sur ma raie… Mmmmmmmm… Elle
repasse, bien à plat, bien mouillée… J’adooooooOOOre !!! Mes
gémissements l’encouragent… Il me lèche la raie, de bas en haut…
Au milieu de la route, il me lèche la fente… goûte mon petit trou serré… C’est divin !!
Je commence à bander très dur… Je suis au bord de l’explosion !! Il me
faut tempérer mes ardeurs, et les siennes, si je veux aller jusqu’au
bout…
Je l’invite à se relever.
Sa queue est tendue à souhait… Son gland pointe vers moi avec insolence…
Un long filet translucide se balance en dessous… Mmmmmmmm… il est
excité… Il aime çà…
En bonne tentatrice, je m’agenouille à mon tour… juste pour le lécher,
laper ce témoignage de désir… Je pousse la provocation jusqu’à le
prendre en bouche… avalant son chibre le plus profondément possible… Et
reculer lentement, en prenant soin de plaquer ma langue tout le long
contre sa chair tendue…
Mmmmmmm… je suis une petite allumeuse…
Puis, je me redresse doucement… avec un sourire plein d’émerveillement… et reprends la marche, à demie-nue…
Mais plutôt que de retourner, comme je prévoyais, à notre refuge, je
provoque le vice en m’engageant maintenant sur la route d’accès qui
rejoint l’autoroute… Je ne sais pas qui du risque ou du désir excite
l’autre, mais j’avance les fesses à l’air dans le virage, décidée comme
jamais…
Jusqu’à atteindre le panneau d’entrée de l’aire, cinquante mètres plus loin. C’est ici qu’il me prendra les fesses…
Pour lui confirmer mes attentes, je saisis sa main et la conduit à ma
bouche… de ma langue vicieuse, j’humecte ses doigts de salive… et les
dirigent ensuite vers ma raie impatiente… stimulant un mouvement de
va-et-vient entre mes fesses pour bien les lubrifier…
Je les reprends en bouche, les mouille d’avantage, et les renvoie vers
mon cul… Je lâche sa main pour m’écarter les fesses… son majeur
s’attarde maintenant sur mon petit trou… Mmmmmmmmmm… j’adoooore… Je
gémis…
« Tu as un préservatif, » lui demandé-je.
Son oui est aussitôt accompagné de sa main qui ressort l’objet de sa
poche. Il rajoute : « J’ai ça aussi ! » en me montrant un petit tube de
lubrifiant.
Sans attendre, il s’emploie à enfiler le latex sur son membre excité, le
déroulant complètement jusqu’à la garde. Son sexe ainsi enveloppé, il
ouvre maintenant son tube et dépose une belle noix de gel sur son gland.
« Tourne-toi, ma belle… et présente-moi tes petites fesses. Je vais te
préparer en douceur. » Son ton rassurant et délicat ne masque en rien
son excitation. Et décuple mon envie… Une fois encore, je lui offre ma
croupe bien ouverte… « Mmmmmmmmm… Viens te frotter !! Viens la glisser
entre mes jambes !! »
Je n’ai jamais été si bavarde ! Je me surprends moi-même !
Et lui ne se fait pas prier…
OOOoooOOOOhhhh !! C’est fabuleux !! Tellement meilleur que mes jouets…
D’abord la fraîcheur du lubrifiant. Son gland qui monte et descend entre
mes fesses en prenant soin d’étaler le gel bien partout… C’est divin !!
La légère baisse d’ardeur, quasiment inévitable sous l’emprisonnement
du préservatif, se fait rapidement oubliée. Et c’est un gros barreau
bien dur que je sens se plaquer de tout son long de ma raie… monter,
descendre… Je me laisse totalement faire… Je me délecte littéralement !!
Je découvre des nouveaux niveaux d’excitation…
Pour honorer ma première pénétration, je vais la sentir passer, c’est sûr !!
Il joue à nouveau avec son gland, son gros gland turgescent… et vient le
présenter à mon petit trou… Semblant attendre mon invitation, il
commence alors à se branler lentement… prenant un soin particulier à
bien rester collé sur ma rondelle encore étroite…
Mmmmmmmmm… C’est un délice…
A chaque allée et venue de sa main sur sa hampe, je sens son gland qui f***e un peu le passage… Il est vraiment très gros !!
Ses petits mouvements de bassin s’amplifient progressivement… me pénètrent petit à petit… Oooohhh…
Ma rosette s’écarte douloureusement à chaque passage, subissant ses larges dimensions… Elle s’ouvre, forcée, et se referme…
Je suis délurée comme jamais…
« - Je suis prête !! Viens,rends-moi !! Enfonce-toi !! »
Je resserre un peu les jambes. Je veux le sentir passer…
Ses mains viriles empoignent mes hanches, et… OOOooooooohhhh !!! Il
s’enfonce lentement, très lentement, ouvrant bien large mon anus…
Mmmmmmmmmmm… La douleur est divine… Il progresse vigoureusement… Et sa
queue semble interminable… continue de me remplir le cul… Il s’enfonce
encore…
« - Ooohh ! C’est bon !! » Les mots m’échappent malgré moi. « Mmmmmmm…
Continue plus loin, bien au fond !! Je veux sentir tes couilles sur mon
cul… » Je me lâche complètement… submergée de plaisir !!
Je suis une vraie salope ce soir !!
Et il a l’air d’aimer ça le vicieux…
Il me tient fermement tout contre lui… son ventre sur mes fesses… ses
couilles caressent les miennes… Il est bien au fond de mon cul, tout
entier… se maintient ainsi pendant quelques secondes… sa queue tellement
longue, tellement large, et tellement dure me comble dans tous les sens
du terme !!
Empalée jusqu’à la garde, je savoure pleinement cette impression d’être possédée, totalement offerte…
Prenant appui sur le panneau, je me penche encore un peu.
« Vas-y ! Fais-toi plaisir… Mon cul est tout à toi ! » Je susurre plus
que je ne parle. Le souffle saccadé… Je ne distingue plus la douleur… Je
suis possédée…
Gardant une emprise sur mon bassin, il recule le sien lentement… je sens
sa queue, sa longue queue, ressortir tout aussi douloureusement,
presque entièrement… et … Han ! Il s’enfonce virilement ! … Ressort… et
Han !
Il accélère… commence à me pilonner le cul… Oooh oui !! Encore !! A
chaque coup de boutoir, ses couilles fouettent les miennes ! J’ai mal,
et pourtant c’est délicieux…
« - Continue !! J’adore ça, continue !! », je l’encourage en gémissant…
Et il continue… Il me remplit le cul de toute sa vigueur, encore, et
encore… Il s’abandonne complètement… Ses mains quittent mes hanches pour
m’écarter les fesses… Et il s’enfonce encore, plus fort, profondément…
Il doit se régaler à mater sa grosse queue qui me défonce l’anus…
« - T’es une vraie salope toi !! T’aimes ça ma queue dans ton cul, hein ?! Dans ton petit cul de salope !!
T’aimes ça !! »
Oh que oui…J’adoooooOOOre !!!
Un petit cri, mélange de plaisir et de douleur, m’échappe à chaque pénétration… Je gémis comme une salope…
En pleine nuit et au bord de l’autoroute, en guêpière et bas résille, je
suis en train de me faire prendre sans retenue… profondément… C’est
tout simplement fabuleux !!
Son chibre s’enfonce maintenant très facilement entre mes fesses huilées
de plaisir… j’ondule pour accompagner son va-et-vient, et le sentir
toujours bien au fond…
Dans le silence de la nuit, mes gémissements et son souffle rauque se
mêlent aux claquements de son ventre contre mon cul… aux succions
mouillées de ma rondelle qui subit ses assauts, et l’engloutit bien au
fond…
C’est tellement pornographique comme situation… J’adore !
Il accélère un temps, semblant monter encore de désir… puis modère peu à
peu son rythme, comme pour refroidir un peu ses ardeurs, retarder
l’instant final…
« - J’adore ! Mais tu ne veux pas qu’on retourne à la bâtisse ? C’est
tellement bon que ce serait dommage de se faire surprendre avant la fin…
Ca te dit ?
Il a raison. Ce serait dommage… D’autant que j’ai vraiment envie de lui
faire son affaire… Et l’idée d’utiliser un de me jouets pour rajouter du
piment à la situation m’excite terriblement… Deux bites en même temps,
je me dis que ça devrait lui plaire… A moi, c’est sûr !
- Tu as raison, lui dis-je en me dégageant subtilement de son étreinte,
et puis, tu n’es pas au bout de ton plaisir, tu sais… » Mon clin d’œil
en dit long, et il le sait…
Etourdie de plaisir, je mets un peu de temps à retrouver totalement mes
esprits, et mes premiers pas sont quelque peu hésitants… La fraîcheur de
l’air me rappelle ma tenue et ma nudité, me caresse les épaules, les
hanches, les fesses… Je découvre cette sensation si particulière : ce
contraste entre mes fesses refroidies par l’air de la nuit, et mon anus
en feu, dilaté de s’être tellement fait pilonné… C’est comme si je
sentais encore le « fantôme » de sa verge bien au fond tandis que je
mets un pied devant l’autre…
J’avance ainsi, devant lui, en me dandinant… Avec toujours cette idée
fixe de lui faire mater mon cul… Je me tripote les fesses, les malaxe,
les écarte… Et j’avance, lentement…
En regagnant l’entrée de l’aire, je m’arrête un instant, me baisse pour
récupérer ma culotte restée au sol, et je reprends la route…
Je savoure ses commentaires lubriques… combien il aime mon cul, combien il bande dur pour lui… Combien je l’excite…
Je suis aux anges !!
Je traverse le parking en prenant mon temps… mes mains sont à nouveaux
baladeuses… mes doigts sont vicieux… et glissent dans ma raie encore
toute mouillée… s’enfoncent par deux… puis trois… Mon petit trou l’est
beaucoup moins désormais…
Je progresse en tournant du cul… passe devant nos voitures… remonte le sentier… et entre dans le bâtiment.
Comme on pouvait s’y attendre, rien n’a bougé. Mon jouet est toujours fixé au mur, mon sac par terre, et ma robe à côté.
Ca fait bizarre de se retrouver en pleine lumière à nouveau. C’est un
peu intimidant… et dans la suite logique des choses, c’est surtout très
excitant !!
Mon amant me suit de près. Sa queue est encore bien haute et bien grosse… Il attend la suite…
Nous voici revenus à notre point de départ. Mais l’excitation est à son paroxysme…
Le sextoy à l’horizontale, bien droit, bien gros… Je fouille dans ma
besace et ressors mon lubrifiant… En l’apercevant, les yeux de mon
coquin pétillent d’envie…
Je dépose un peu de de gel sur ma paume, et, me tournant vers mon jouet
de latex pour l’enduire copieusement, je présente ma croupe à mon
partenaire …
Ses doigts s’attardent maintenant sur mon trou élargi… Deux doigts, puis trois, qui s’enfoncent et jouent à l’intérieur…
Je me retrouve ainsi en train de branler mon gode, avec les doigts
pénétrants de mon homme qui me fouillent l’anus… J’adooooOOOre…
Je suis prête pour la suite…
A moi de m’occuper un peu de lui maintenant… lui montrer à quel point il m’excite…
Je me dégage alors de ses manigances… me tourne… face à lui, dos au mur…
celui-là même où darde mon gros jouet… Je recule… Je viens frotter mon
cul tout contre…
Mon voyeur se décale sur mon flanc pour n’en pas perdre une miette. Les
yeux grands ouverts, la queue dans la main… il contemple la tige noire
qui se perd le long de ma raie… il n’attend qu’une chose… Moi aussi…
Lentement, je m’empale dessus… Mmmmmmmmmmm… c’est gros !! Le gland
passe, m’écarte l’anus… oooooOOOOhhh… il pénètre… Mmmmmmmm… je recule
encore…
- « Mais quelle salope !! Quelle salope !! ». Il se lâche… ça m’excite encore plus !!
Les pieds bien écartés, je joue du bassin pour aller et venir…
Mmmmmmmmmm… ça me perfore… Mmmmmmmmm… encore… encore… plus vite !!
J’attire mon homme vers moi… il est temps de m’occuper de la sienne, de sa queue…
Pénétrée bien au fond, les fesses contre le carrelage… les couilles en
latex plaquées contre moi… et le gros pieu enfoncé tout entier dans mon
cul…
Je lui retire précautionneusement la capote, libérant sa queue dégoulinante de désir…
J’ouvre la bouche…
Le sexe en main, il s’avance… et, la main sur ma nuque, autorité douce
et ferme, il amène son gland à l’orée de mes lèvres… et s’enfonce…
Mmmmmmmmmm… mes lèvres s’écartent sur son passage… il est gros… il
glisse sur ma langue, sur mes joues… Je me régale !!
Une bite dans la bouche, salée et gluante d’excitation… et un gode dans
le cul… tour à tour s’enfoncent… Je recule sur mon jouet en goûtant à sa
queue qui ressort… et avance, avalant son chibre tandis que mon gros
accessoire se retire… Mmmmmmmmm… Je suis béate !!
J’accélère le mouvement… prise des deux côtés… Je gémis sans retenue… oooooOOOHHH !! Encore !! EncooooOOre…
Ses commentaires sont de plus en plus salaces… j’aime çà… oui !!
Traite-moi encore de salope !! Parle-moi encore de ta bite dans ma
bouche… de mon cul !! Oui, je suis ta petite pute ce soir !!
Mmmmmmmmmm… Je suce, je lèche… je le branle dans ma bouche… Mmmmmmmmm… chevauchant sans vergogne mon gros pieu noir…
Le coquin est coquin… Je n’ai pas réalisé qu’il s’avançait petit à
petit, jusqu’à ce que je me retrouve remplie des deux côtés. Les deux
membres bien au fond… Les mots ne sont plus assez expressifs… Le gode
bien au fond de mon cul et sa bite qui me remplit la bouche, en même
temps !! Mes gémissements étouffés se font cris… Je suis une femme
proche de l’orgasme !! Sentant le sien pointer de concert… Je sens qu’il
aime, qu’il va bientôt venir… Et, j’en veux encore plus !! Toujours
plus…
« Attends… attends…» Ma voix est chevrotante, haletante… « Tu vas me finir en beauté… »
Il se recule intrigué, curieux, me laissant avancer pour libérer mes
intimités… Et moi, complètement étourdie, complètement troublée… je
connais maintenant le sens de se faire prendre comme une chienne, et ça
n’est pas fini…
Il me regarde tandis que, m’appuyant d’une main contre le mur, je
décolle mon jouet d’ébène et l’emmène avec moi vers la sortie de la
bâtisse. Je suis tellement excitée que j’aurai presque envie de pousser
le vice jusqu’à aller sur le bord de l’autoroute et espérer me faire
mater par des conducteurs nocturnes de passage, des routiers vicieux, en
train de « finir » mon compagnon… Mais la distance à parcourir suffit à
me raisonner pour cette fois… Et le désir est trop puissant pour
attendre plus !
Je m’arrête donc au niveau des voitures, au milieu de l’allée
goudronnée, sous le lampadaire… Il n’est pas dit que je ne lui offrirais
pas un dernier spectacle de salope !
M’accroupissant là, je pose le gode par terre et me positionne
au-dessus, sur les genoux. Il n’a pas tardé à me rejoindre, et devine
sans difficulté…
J’ai à peine besoin de guider le gros chibre noir qu’il s’enfonce
aussitôt, sans aucune difficulté… Dilaté de tous ces coups de boutoir,
mon cul aspire littéralement le gros jouet… Et me voilà, à genoux,
empalée à nouveau, n’attendant plus qu’une chose…
« Tu veux jouir dans ma bouche ? » J’adore poser cette question !
Certainement la plus excitante interrogation !! Joignant le geste à la
parole, je relève le visage vers lui et passe la langue sur mes lèvres…
Comment être plus salope ?!!
Seul un « Oooooohhh oui… » langoureux sortira de sa bouche, avant de
remplir la mienne de son membre imposant, dressé comme un mat… et de
commencer à glisser entre mes lèvres, sans retenue…
Je sais qu’il est proche de l’orgasme, que je dois profiter de chacun de
ses va et vient sur ma langue, entre mes joues… au fond de ma gorge…
Mon cul posé sur le goudron, ne laissant que les couilles de latex
dépasser timidement, je prends alors son sexe entre mes doigts et
entreprend de le branler sur ma langue. Son gland posé entre mes lèvres,
je le branle langoureusement… Pas besoin d’aller trop vite, il a
dépassé ce stade… Chaque seconde supplémentaire n’est que bonus… Il
commence à se tendre de plus en plus… moi, je suis tétanisée. J’ai
l’impression d’avoir déjà joui plusieurs fois…
Son souffle accélère… se bloque, et… un jet puissant s’écrase à la
commissure de mes lèvres, sur ma joue, jusqu’à mon oreille… Je réajuste
aussitôt pour… Mmmmmmmmmm… un deuxième jet, tout aussi abondant,
s’écoule sur ma langue… un troisième, un quatrième… Il me remplit la
bouche de son foutre chaud et visqueux… Je le reprends plus franchement
en bouche, mêlant sa queue à sa semence… Il éjacule encore, ça dégouline
maintenant de mes lèvres, sur mes joues, sur mon menton… et toujours sa
queue dans ma bouche…
Et toujours le gode tout au fond de mon cul… Je ne tiens plus !!
Prenant mon sexe à pleine main, je me branle dans l’autre et la recouvre en quelques secondes… La main pleine de sperme…
Comme s’il n’y avait plus de limites, je ressors sa queue de mes lèvres et lui expose ma gorge inondée…
Un « Salope !!» lui échappe quand je déglutis face à lui et rouvre la
bouche bien grand pour lui prouver que j’en suis bien une… Une vraie
salope ce soir !! Et peut-être plus que çà…
Je porte ma main à mon visage et lèche mon jus goulument… doigt après
doigt... goutte après goutte… ramenant par là-même les trainées de son
sperme restées sur mon visage…
La bouche à nouveau pleine… et à nouveau vide…
Assise sur mon gode, le visage luisant, je reste un peu comme çà… face à lui… Tremblante d’extase…
C’était FABULEUX !!
Le silence traduit la complicité de l’instant…
…
Plus tard, on retournera à la bâtisse pour que je récupère mes affaires
et réenfile ma robe… Et nous resterons sur l’aire jusqu’à l’aube… Je
jouerai le rôle de la femme jusqu’au bout, et lui celui de l’amant
inconnu…
Nous baiserons à nouveau avec autant d’ardeur et de luxure…
Il jouira sur mon visage, à ma demande. Offrande que je garderai pour
m’en délecter, sur la fin du trajet, par petits lapements, jusqu’à mon
retour à domicile…
Je n’ai jamais revu mon bel amant, mais j’en garde certainement mon plus beau souvenir…