الخميس، 27 نوفمبر 2014

Lesbiennes


J'avais eu du mal à prendre un rendez-vous avec mon gynécologue, mais j'avais enfin fini par en avoir un et j'étais à l'heure ce jour-là. J'étais la seule dans la salle d'attente quand le gynéco a ouvert sa porte et il a dit à sa secrétaire qu'elle pouvait partir parce que je suis sa dernière cliente. Je suis entrée dans son cabinet.

- Qu'est-ce qui vous amène, m'a-t-il demandé ? Vous êtes enceinte ?

J'ai ri parce qu'à quarante ans... et j'ai ajouté qu'il faudrait que j'ai des relations sexuelles...

- Vous n'aimez plus ça, m'a-t-il répondu ?

Je l'aimais bien parce qu'il est sympa et décontracté et qu'il est plus jeune que moi. Il a pris la succession de mon premier gynéco parti en retraite....

- Vous avez viré lesbienne, a-t-il ajouté ?

- Moi, lesbienne, lui ai-je répondu ?

J'étais un peu vexée, pas qu'il ait imaginé que je puisse être lesbienne mais parce que j'avais eu parfois des envies en croisant des femmes dans la rue. Je me rappelais qu'on avait discuté sur le sujet une fois et qu'il m'avait sidéré par ses explications.

- Beaucoup plus de femmes que d'hommes ont des envies homosexuelles, a-t-il ajouté ! Ça ne vous est jamais venu à l'idée ?

- De faire l'amour avec une femme, lui ai-je demandé ?

- Oui, de faire l'amour avec une femme, a insisté mon gynéco ! Je vous assure que vous y trouveriez du plaisir et au moins, vous ne risqueriez pas d'être enceinte !

Il s'est mis à rire et j'ai ri moi aussi puis il s'est calmé et il m'a demandé si je n'avais pas envie de m'amuser.

- Avec vous, lui ai-je demandé ?

- Je vous dégoûte à ce point-là, a-t-il insisté ?

Jamais un homme ne m'avait une proposition aussi précise.

- En attendant, déshabillez-vous, m'a-t-il ordonné !

Après tout, j'étais là pour ça. J'avais l'impression que j'avais quelque chose de curieux dans le vagin quand je me masturbais. Je me suis déshabillée et je me suis hissée sur le fauteuil avant de caler mes pieds puis une envie de rire m'a prise.

- Qu'est-ce qu'il y a, m'a demandé mon gynéco ?

- Je me disais que ça devrait être amusant de faire l'amour dans cette position, lui ai-je répondu !

- Vous voulez qu'on le fasse ?

Le téléphone a sonné et il s'est éloigné pour répondre et j'ai entendu qu'il parlait avec sa secrétaire. Il lui a même demandé si elle partait et la fille a répondu qu'elle pouvait rester.

- Alors, si vous pouvez rester, venez nous rejoindre, lui a répondu son patron et la porte s'est ouverte sur la fille qui a rougi en me regardant puis son patron l'a poussée vers moi :

- Vous qui préférez les femmes, est-ce que celle-ci vous plaît, lui a-t-il demandé ?

La jeune femme a rougi mais elle n'a rien répondu.

- Dites-nous si cette femme vous plaît, a insisté son patron !

- Oui, dites-nous, lui ai-je demandé !

J'étais amusée par la situation. La fille a bafouillé que je lui plaisait.

- Et qu'est-ce qui vous plaît en moi, ai-je insisté ?

J'étais de plus en plus amusée par ce qui arrivait.

- Vos seins, a bafouillé la jeune femme ! Vous avez des seins magnifiques !

- Et quoi encore, ai-je insisté ?

J'étais restée avec les pieds calés et les cuisses ouvertes et la fille est venue devant moi. Son visage était plus rouge que rouge.

- Vous êtes entièrement épilée, a-t-elle encore bafouillé !

- Tu ne l'as jamais fait, ai-je insisté ? Ça te plaît ? Touche-moi pendant que ton patron va s'occuper de moi !

Pourquoi avais-je dit ça ? La fille s'est mise à côté de moi et elle m'a touché le ventre puis les seins puis elle a promené ses doigts sur mon visage et j'ai pu en sucer un et le mordiller dans qu'elle ne le retire.

- Embrasse-là, lui a demandé son patron qui était en train de se déshabiller ! Tu ne vois pas qu'elle a envie de toi ?

La jeune femme s'est penchée sur moi et elle m'a roulé un patin pendant qu'elle triturait mes seins puis j'ai été pénétrée. J'ai aperçu la silhouette de mon gynéco. Il était entre mes cuisses et il me faisait l'amour. La femme a embouché mes mamelons l'un après l'autre et elle m'a tétée comme si j'avais du lait. Le pénis n'arrêtait pas d'aller et venir dans mon vagin et il y avait longtemps que je n'avais pas subi un traitement aussi agréable. La fille m'embrassait et son patron me baisait puis il s'est arrêté et il nous a regardées puis il a dit à sa secrétaire de me lécher la vulve et la fille s'est exécutée et quand il a voulu s'enfoncer entre ses cuisses, elle l'a repoussé mais il a insisté et la jeune femme a fini par se laisser faire et nous avons fait le petit train tous les trois. De temps en temps, le gynéco abandonnait sa secrétaire pour revenir me pénétrer et la fille me roulait des patins ou me tétait les mamelons. Elle me murmurait à l'oreille que je suis belle et elle a ajouté qu'elle voudrait qu'on se mette ensemble mais je ne l'entendais pas de cette oreille et je lui ai répondu que je ne l'accepterai que si on continuait à la faire tous les trois. Quand le gynéco m'a fait descendre du fauteuil, il m'a fait mettre à quatre pattes sur le plancher pour pouvir me prendre en levrette pendant que la fille nous regardait faire.

- Je vais jouir, a-t-il fini par me dire ! Agenouille-toi !

Je me suis agenouillé devant lui et il a appelé sa secrétaire et il lui a dit que c'est elle qui allait le finir et j'ai vu qu'elle n'en avait pas l'expérience et j'ai proposé de le faire mais mon gynéco n'a pas cédé et la pauvre fille l'a branlé jusqu'à ce que la semence gicle sur mon visage et mes seins.

- Maintenant, tu me nettoies, a-t-il commandé à sa secrétaire ! Avec ta langue !

La fille s'est penchée et elle a fait la petite toilette du pantin puis quand son patron lui a commandé de me nettoyer, elle a commencé à étaler le sperme avec le bout de ses doigts avant de le lécher avec sa langue puis ça s'est terminé là.

- On s'est bien amusés, nous a dit le gynéco pendant qu'on se rhabillait ? On pourrait peut-être recommencer ? De toute façon, je n'ai pas eu le temps de vous ausculter, m'a-t-il dit ! Il faudra que vous preniez un autre rendez-vous !

Je n'ai pas téléphoné pour un autre rendez-vous. La secrétaire m'avait appelée le lendemain pour me dire qu'elle continuera bien avec moi si je lui promets de ne plus voir ce gynéco et j'ai accepté. Quand elle est venue chez moi, elle m'a demandé ce que je trouvais aux hommes et elle a ajouté que c'et bien mieux entre femmes.

- Si vous voulez être pénétrée, on pourrait s'offrir un gode ceinture, a-t-elle insisté !

Elle m'amusait. C'était une très jolie femme dont les hommes devaient se demander pourquoi elle leur résistait. Nous avons fait un gros câlin toutes les deux et la fois suivante je suis allée chez elle. Elle s'était procuré un énorme gode ceinture et c'est avec celui-là qu'elle m'a fait l'amour. Je n'avais jamais été prise par un pieu aussi énorme et une fois satisfaite, nous avons permuté nos rôles et je l'ai pénétrée puis nous sommes restées toutes les deux affalées sur le canapé.

- Je m'étais imaginée qu'on se prendrait dans l'anus, a-t-elle fini par me dire ! Vous l'avez déjà fait ?

Elle était écarlate. Je pouvais lui répondre que mon premier mari aimait bien m'enculer mais je n'ai rien dit. Je lui ai demandé si elle voulait vraiment qu'on le fasse et elle m'a bafouillé que si j'en avais envie... En tout cas, c'est moi qui avais le gode ceinture. Je lui ai dit de s'agenouiller sur le lit et je me suis enfoncé dans son anus malgré ses supplications et ses pleurs puis quand elle m'a supplié d'arrêter, je me suis retirée et je lui ai mis le gode ceinture. Je lui devais bien ça. J'ai sûrement eu aussi mal qu'elle quand elle s'est enfoncée dans mon anus. J'étais bien enculée mais je ne me suis pas plainte et je me suis laissée faire jusqu'à ce qu'elle se lasse.

- C'était comment, m'a-t-elle demandé ?

Je lui ai répondu qu'il fallait bien que ça se fasse. La jeune femme a minaudé que ça lui avait fait mal et je lui ai avoué que ça avait été la même chose pour moi puis on s'est promis qu'on ne s'enfoncerait plus jamais que dans le vagin. J'ai encore ajouté qu'elle devait bien avoir des amies et elle a fini par me dire que j'avais été la première. J'avais entendu parler d'un club pour lesbiennes et je lui ai donné rendez-vous pour le samedi soir suivant.

- C'est là qu'on va, m'a-t-elle demandé quand elle a vu les femmes qui fumaient à l'entrée ? C'est pour les lesbiennes...

- C'est ce qu'on est, non, lui ai-je répondu ?

Elle ne pouvait pas me dire le contraire. Nous sommes entrées. Je n'avais jamais fréquenté de tels lieux. Il y avait des femmes seules qui chassaient et d'autres qui se roulaient des patins. J'ai demandé à la jeune femme s'il y en avait une qui lui plaisait et elle m'a répondu que je suis la seule mais ce n'était pas ce que je voulais.

- Tiens, regarde, ai-je insisté, celle-ci, je suis sûre que tu lui plais !

Il y avait une jolie femme assise sur un tabouret à l'autre bout du bar. Je lui ai fait un clin d'oeil en montrant mon amie et la femme a pris son verre et elle est venue nous rejoindre.

- Elle est jolie, non, ai-je ajouté quand la femme s'est présentée et m'adressant à la secrétaire de mon gynéco, je lui ai dit qu'elles allaient bien s'amuser ensemble. La femme m'a répondu qu'elle ne pouvait pas attendre et qu'il y avait des box au fond de la salle. J'ai pris le verre des mains de mon amie et je lui ai recommandé d'y aller et la femme l'a prise par la main et elles ont disparu dans un box. Je regardais ma montre de temps en temps et je chassais même des prétendantes. Le temps filait. Qu'est-ce que faisaient ces deux filles ? Je me suis dirigée vers le box et j'ai écarté le rideau. Ma secrétaire était penchée sur un fauteuil, entièrement nue et sa partenaire lui faisait un fisting.

- Tu aimes ça, lui gémissait-elle ?

- Oui, j'aime ça, lui répondait ma secrétaire !

- Aors, demande moi de continuer, a insisté l'autre femme tout en me faisant signe de prendre sa place et j'ai enfoncé mon poignet dans le vagin de la jeune femme.

- Tu savais qu'elle aime tant ça, m'a demandé à haute voix la jeune femme ?

- Tu es là, s'est étonnée la secrétaire !

- Oui, et c'est elle qui te fiste, a ajouté la jeune femme ! Tu es une vraie salope et tu aimes ça !

J'avais laissé ma main au fond du vagin et j'ai écarté les doigts et je lui ai donné un orgasme puis la jeune femme nous a proposé de venir chez elle toutes les deux. Mon amie s'est rhabillée et nous l'avons suivie. Quand elle a poussé la porte au fond du couloir, j'ai pu voir des cordes qui pendaient du plafond et tout un tas d'instruments sur les murs.

- Qu'est-ce que tu fais avec ça, lui ai-je demandé ?

- Du SM, m'a répondu la jeune femme !

- Du SM ? Du sado-masochisme ? Tu tortures des femmes avec ça ?

- Tu exagères un peu, m'a-t-elle répondu ! Quand on a essayé, on ne peut plus s'en passer ! Tu veux essayer ?

- Qu'est-ce que tu vas me faire, lui ai-je demandé ?

- Je vais commencer par te fouetter puis je vais te suspendre, m'a répondu la jeune femme ! Tu as les seins si gros que ce ne sera qu'un jeux !

Je n'ai pas compris ce qu'elle voulait dire. Je me suis déshabillée et sous les yeux de mon amie, la femme m'a fouettée et j'ai senti que je partais pour un orgasme et je l'ai eu puis la femme a enroulé une corde autour de mes seins et je n'ai compris ce qu'elle voulait faire qu'une fois suspendue par la poitrine et je suis restée dans cette position jusqu'à ce que mes pieds touchent à nouveau le plancher. Mon amie d'était endormie.

ليست هناك تعليقات:

إرسال تعليق